Un rêve idyllique condamné à jamais à flotter dans un coin de votre esprit comme un doux fantasme intangible. Non, Swordmaster RP, ici, les rêves n’ont pas de limite. [Interdit aux moins de 16 ans]
 
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

Partagez
 

 Aelis Vendel [en cours]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Aelis Vendel

Je suis
Aelis Vendel

Messages : 3
Date d'inscription : 10/10/2012
Age : 31

Capacités
Vie:
Aelis Vendel [en cours] Left_bar_bleue10000/10000Aelis Vendel [en cours] Empty_bar_bleue  (10000/10000)
Souffle magique:
Aelis Vendel [en cours] Left_bar_bleue20000/20000Aelis Vendel [en cours] Empty_bar_bleue  (20000/20000)
Camps:

Aelis Vendel [en cours] Empty
MessageSujet: Aelis Vendel [en cours]   Aelis Vendel [en cours] EmptyMer 10 Oct - 18:15

[ ancienne fiche que j'ai pas pu utiliser donc je pose en brouillon pour le moment mais je vais faire des modifs ^^ ]










Identité de votre personnage :

Nom : Vendel, mais je l'ai depuis longtemps renié. L'on ne m'appelle plus que par mon prénom depuis bien des années.

Prénom : Aelis, Il parait qu'il signifie "âme pure", et vu comme celle-ci a été piétinée je trouve cela bien ironique.

Âge : Oh j'ai déjà passé bien d'années mais pour vous simplifier les choses je vais vous donner l'équivalent humain : Cela fait un moment déjà que j'ai dépassé le bel âge des vingt ans, j'en ai a présent vingt-six.

Race : Je suis une elfe, cela se voit à mes oreilles non ?

Date de naissance : On n'y a tellement peu donné d'importance qu'à présent je ne sais même plus le situer exactement. Après tout peu importe, mais je me souviens qu'il faisait un temps glacial les fois où je m'amusais à fêter mes années supplémentaires.

Lieu de Naissance : Je n'en ai à ce propos pas la moindre idée.

Caste; Métier, Occupations : Mage, et confectionneuse de vêtements à temps partiel bien que ce ne soit un passe temps personnel plutôt qu'autre chose.


Éléments (indiquez l'élément qui sera de niveau avancé) : : Foudre.

Description Physique et Mentale :


Physionomie :

Je ne me suis jamais vantée de mon physique, tout simplement parce que l'on ne m'a jamais donné l'occasion de pouvoir me regarder telle que je suis. Cela peut paraitre étrange mais pourtant c'est un fait : Ce corps que l'on semble tant affectionner me parait souvent comme étranger... Mon allure élancée est due à ma corpulence fine et ma taille relativement grande, bien que je sois loin d'un géante. Je ne suis pas non plus un poids lourd et très loin de là... Si j'ai à ce jour l'air dans les normes ce n'est que bien récemment puisque ayant une forte tendance à maigrir. Oui, c'est un faite, je n'ai jamais prit spécialement soin de mon corps dans le but de sans doute le rendre bien moins intéressant.

Outre cela, je possède un visage plutôt ovale que rond aux pommettes peu marquées mais dont les joues se colorent naturellement d'un rose pâle et discret. Un nez droit, des lèvres pleines et souvent fendillées de par ma grande anxiété qui me pousse bien trop souvent à les mordiller, je n'ai rien de particulier à en dire. Ma seule fierté et sans doute mes beaux yeux gris en amande. Entourant le tout vient ma chevelure fauve : D'un roux relativement foncé et fortement négligée, mes cheveux sont plutôt longs mais bon nombre de mèches sont coupées courtes. Certains disent que cela me donne un genre mais je n'en suis pas sure et ce n'est pas pas ce que je recherche.

En dehors de mes formes physiques vient bien évidemment les vêtements et autre bijoux. J'ai pour habitude de ne porter que mes créations, je ne vois pas pourquoi j'irai dépenser mon précieux argent dans des tissus que je peux moi-même confectionner et d'une plus grande beauté qui plus est ! Généralement je porte donc mes robes : Aux couleurs souvent vives et parfois plus qu'originales, elles sont toutefois d'une grande finesse et épousent parfaitement mes formes. Il m'arrive également de m'habiller plus "pratique" comme un pantalon, chemise quelconque. Un peu à la garçonnière entre autre, lorsque que des froufrous et chaussures délicates me dérangeraient plus qu'autre chose. En dernier lieu, et porté presque aussi souvent que mes robes voir même peu être un peu plus, ce sont mes tuniques que j'affectionne. Aussi travaillés que les longs tissus, j'aime à leur donner des formes originales et belles, n'omettant pas d'y placet un corset ravissant.

Chose étrange, selon les avis de mes semblables, quelle que soit ma tenue je ne quitte pas certains accessoires. Il y a ma ceinture, une paire de gants dont manque le bout des doigts et mon précieux chapeau. Ces petits objets sont certes déconcertants dans certaines de mes tenues mais rappelle à mon goût prononcé de ne pas faire comme les autres. Il arrive parfois également que je mette quelques bijoux tel un bracelet ou un collier mais ils restent sobres et peu souvent utilisés.



Psychologie :

Si je suis bien sûre d'une chose, c'est bien que ce que je suis n'a rien à voir avec ce que je parait être. Pour de nombreuses raisons je possède tout simplement une psychologie instable. A vrai dire il n'y a rien d'étrange ou d'étonnant à cela, au vu de ma malchance infinie à tomber dans des situations désastreuses et traumatisantes depuis ma tendre enfance, j'en ai été sacrément détraquée. Oh pas au point de me rendre folle à lier, ce serait un cadeau bien trop beau pour mes bourreaux. Il m'arrive simplement des sautes d"humeurs, une sorte de lunatisme en quelque sorte. Le plus impressionnant se résume à mes crises liées à des peurs obsessionnelles. Car, oui, je suis une personne extrêmement fragile : Qui connait mes faiblesses ( bien trop nombreuses à mon goût ) saura me mettre à terre.

Pour compenser mon mental plus que précaire je me suis forgée une armure d'apparat. Un voile mensonger qui n'a de but que de me protéger. Ceux qui me connaissent un temps soit peu vous diront que je suis aussi dure que de la roche, un brin hautaine si se n'est pas odieuse tout court. Je me plait à faire preuve de sarcasmes et de montrer une attitude de provocation parfois. Je refuse que l'on me considère comme une personne douce c'est pourquoi je ferais tout pour vous faire croire le contraire, à commencer par ne jamais vous tendre la main ni d'accepter de vous aider. En réalité je voudrais mais je ne fait plus confiance à personne depuis longtemps... Du moins pas aux hommes.

Pour effacer ma fragilité émotionnelle au lieu de m'attrister, de subir les chocs il y a de fortes chances pour que je n'explose de colère tel le volcan. Mon don pour la foudre à d'autant plus d'effet d'accentuer mon aura dangereuse malgré le fait que je ne l'utiliserait jamais pour mon bon plaisir. J'ai beau haïr et craindre profondément autrui je n'en userais pas pour autant la violence, que si cela est nécessaire.



Biographie du personnage :


Histoire :

Quelle bien triste histoire que la mienne. Je n'aime pas la raconter mais puisqu'il le faut... Pour que vous situiez mieux je vous parlerai en termes d'âge humain, gardez donc à l'esprit que bien plus d'années se sont écoulées.

Ma mère avait rencontré un homme dont elle était follement amoureuse, mon Père. Malheureusement pour elle c'était un homme dur, froid et calculateur. Je ne sais même pas s'il l'a aimé réellement. Quoi qu'il en soit ils se marièrent et au bout de quelques années ma mère tomba enceinte. Neufs mois plus tard je naissais. Ce fut ma mère qui me donna un nom, même si je ne peut le prouver j'en ai la sincère conviction. En effet, je grandis sans avoir réellement l'impression de posséder un père. Même dans mes souvenirs les plus anciens il n'apparaissait pas comme tel. Accaparé par son travail, il venait peu à la maison et je ressentais une certaine angoisse et appréhension lorsque le moment fatidique de sa venue approchait. Cet homme était hautain, dur envers moi. Jamais la moindre tendresse et toujours reproches et corrections. J'avais si peur de lui que je n'osais jamais le désobéir ni même pleurer lorsqu'il me donnait de violentes claques que je ne méritais pourtant pas. quand il s'en allait, je courais me réfugier dans les bras de ma douce Alénéa, ma très chère mère, la seule personne au monde dont l'amour débordait rien qu'à ma vue. Elle me répétait sans cesse quel bonheur avait été ma venue au monde.

L'année de mes cinq ans se produisit un drame qui reste encore aujourd'hui gravé dans ma mémoire comme un traumatisme absolu. En fermant les yeux je pourrait aisément revoir la scène terrifiante que mes yeux innocents ont du contempler. Les mots fous et cruels qui avaient été prononcés à mon égard tout autant...
Cela faisait quelques temps déjà que rien ne sembler aller entre mes parents, depuis que mon père ne partait plus au travail, l'ayant perdu. Souvent, je découvrait ma mère en larmes, qu'elle essuyait à la hâte en m'apercevant et quand je lui demandais ce qui la rendait si triste elle me répondait comme toujours que ce n'était pas grave, qu'il s'agissait d'une histoire d'adultes. Mon esprit d'enfant se satisfaisait de cela et je retournais jouer tranquillement. Mais les choses ont empiré, les cris des disputes incessantes de mes géniteurs redoublaient et bientôt je remarquait des bleus, des blessures sur le corps de ma mère. Les prétextes devenaient difficiles à trouver pour calmer mon inquiétude. Une chute, un coupure en cuisinant... Tant de mensonges qui sonnaient faux à sa bouche.

Et puis vint ce jour terrible ou mon père semblait être devenu complètement fou. Alénéa était partie au marché pour prévoir le repas. Il n'y avait donc plus que moi et ce Père qui était devenu ivre et violent depuis quelques mois. Et fou. Mes yeux d'enfant pouvaient aisément voir la folie effrayante dans son regard. Il me faisait peur, bien plus qu'auparavant, et il en était conscient. Il m'avait demandé ce jour maudit de le rejoindre au salon. Je devais l'aider à ranger des ouvrages. Par maladresse j'en fit tomber un. Fou de rage, il vint me soulever du sol et m'assena un coup violent au visage. Des larmes silencieuses perlèrent à mes yeux et coulaient lentement sur mon visage car je me retenais de crier de douleur avec difficulté ayant terriblement peur qu'il se fâche encore plus contre moi. Mécontent de me voir si faible il me jeta contre un mur et commença à déferler sa rage.


" Tu ne sers à rien, tu n'aurais jamais du exister ! Tu n'es rien d'autre qu'une erreur, et tu ne seras jamais rien d'autre... Petite peste, elle était à moi et uniquement à moi seul ! Tu ne mérite pas son amour, tu m'a volé son amour ! Garce. C'est ta faute, tout est de ta faute si ma vie est devenue aussi misérable. Mais tu vas payer ça. "

Il s'était penché et je crus qu'il allait me frapper, mais il en sortit une arme. Cette fois la peur fut si forte que j'en étais pétrifiée. Mais c'est alors qu'il pointa l'arme vers lui, vers son cœur. Il se l'enfonça, s'empalant devant mes yeux et s'écroula au sol. Il ne mourut pas sur l'instant, il agonisait... Avec un sourire absolument mauvais, le regard vitreux. Le dégout, l'horreur, m'envahit alors que je tremblais de tout mon corps. Je ne parvins même pas à me relever, à moitié sous le choc et la douleur que m'infligeait ma jambe droit lorsqu'il m'avait projetée contre le mur. Je remarquais seulement à présent qu'elle n'avait pas là une posture naturelle. Ma jambe était brisée.
J'étais donc restée là, devant le cadavre de mon paternel le temps que ma mère rentre à la maison et me découvre tétanisée. Un cri d'horreur s'échappa de ses lèvres délicates à la vue de son mari.

Les années défilèrent... Ma mère s'est très vite remariée car elle ne supportait pas la solitude, totalement incapable de vivre sans un homme. Ce fut là une des raisons de mon second traumatisme. Au début cet inconnu me semblait chaleureux, doux et gentil. En vérité il s'occupait de moi et prenait même très soin de ma santé. Je ne savais alors pas quelle attitude adopter, de la joie ou de la méfiance, après tout l'ancienne image masculine que j'avais eu m'avait démontré que je n'étais rien de plus qu'une abomination à ses yeux, et la responsable de sa mort atroce qu'il s'était pourtant infligée tout seul... Cet homme-là me portait bien trop d'attention et mon instinct me commandais de garder mes distances avant que lui aussi arrive à la même pensée.

Au fil des années, pourtant, je finis par avoir confiance en lui et l'aimer tout comme j'adorais ma mère. Il était gentil ce Jack, mais trop gentil pourtant... A l'age de mes quinze ans, il dévoila enfin ses intentions. Alors que mes formes naissaient, que mon corps se transformait de l'enfant vers l'adulte, il commençait à me considérer autrement. Son affection à mon égard était emplie de désir. Une nuit il vint dans ma chambre. Il me viola sans ménagement. Quand il eut terminé, il m'interdit d'en parler à qui que ce soit, par la menace et le chantage. Mais j'étais bien trop honteuse pour oser le faire, mon être entier venait d'être souillé. En larmes, tremblante, je passai le reste de la nuit repliée sur moi-même, incapable de fermer les yeux. Ce fut là le début d'un autre calvaire... Le jour je me faisais oubliée, et je tachais de masquer mes sentiments, désirant plus que tout dévoiler à ma mère ce qu'il osait me faire mais j'avais si peur de la faire souffrir, qu'elle ait honte de moi autant que je me dégoutais moi-même, que je haïssais ce corps. La nuit je tentais de disparaitre pour qu'il m'oublie, mais je n'y échappais jamais...

Et puis je découvris que la femme que je respectais le plus au monde acceptais cette situation. Une nuit, elle surpris la scène, mais elle ne réagit pas, restant de glace. Mon cœur s'était emballé et je tentai un appel à l'aide dans l'espoir infime qu'elle le chasse de ma chambre et me prenne dans ses bras pour me consoler. Mais elle est partie, sans un mot. Elle m'avait abandonnée. Ce fut le déclencheur d'une colère sourde en mon cœur, et je perdis tout l'amour que j'éprouvais envers cette femme, toute l'admiration et le respect que je lui témoignais. Je réalisais que sa priorité n'était pas moi, la chair de sa chair mais d'être avec un homme. Elle craignait la solitude au point de laisser faire des horreurs à sa propre fille... Quelques mois plus tard je trouvais la force de m'enfuir pour ne plus jamais revenir.

Je n'avais encore que dix-sept ans et je n'avais nul endroit où aller. La première chose que je fis fut de partir le plus loin possible de ma ville natale. Il fallait que jamais on ne me retrouve. Sur le chemin je tentai de gagner de l'argent, mais il était très difficile. Peu m'autorisèrent à travailler, d'autant plus que mon inexpérience n’allait pas en ma faveur. Je réussi à m'arrêter dans un ville suffisamment loin et assez grande pour m'offrir un large choix de travail. Malheureusement pourtant je peinais toujours autant à gagner ne serait-ce que quelques pièces d'or, et encore moins de quoi me loger. Bientôt la faim commençais à me tenailler... Au final, les jours, les semaines, et mois défilant, je fini par atteindre mes limites et me sentant si seule et si misérable je ne mis pas bien longtemps à penser que finalement si je me laissais mourir, personne ne me regretterais.

Une lumière vint éclairer mon existence, alors que je perdais connaissance. Des bras forts m'avaient soulevée du sol, des paroles agréables étaient parvenues à mes oreilles. Et puis je m'étais éveillée dans une pièce chaude, dans un lit moelleux aux draps doux. Il était là, mon sauveur. Ayant remarqué que je m'étais éveillée il s'était précipité à mon chevet, penchant sa tête à la chevelure d'or au dessus de moi. Un sourire merveilleux avait envahit son visage alors qu'il s'exclamait :


" Oh, vous vous éveillez enfin ! Tenez, mangez ceci vous êtes vraiment toute pâle, une aussi jolie damoiselle ne devrait pas avoir aussi triste mine. "

Son entrain et son enthousiasme semblait sincères et me touchèrent profondément. Pourquoi diable ce beau garçon m'avait arrachée à mon destin funeste ? J'avais pourtant trouvé cette solution réconfortante au final... Ne plus pouvoir souffrir, trouver la paix éternelle. Mais il m'en avait empêché. Cependant il se dégageait de lui quelque chose qui me retins de lui dire de me laisser ainsi. Peut être était-ce parce que pour une fois on faisait attention à moi sans arrières pensées, qu'il n'y avait en lui pas une ombre malsaine... J'étais touchée par son naturel, sa bonté.
Il s'occupa de moi, m'offrant à manger, un endroit où dormir. Petit à petit je reprenais des forces, des couleurs, et je m'attachais à ce garçon. Rikou. Je retiendrais toute ma vie son nom. Il était jeune lui aussi, de quelques années mon aîné. Il avait travaillé dur toute sa vie pour devenir cordonnier. Suite à une grande maladie son père lui avait légué la boutique, la maison, pour se retirer à la campagne. Je n'avais jamais vu quelqu'un d'aussi passionné dans son métier mais surtout d'aussi d'aussi admirable...

Le temps défilait à toute allure à ses côtés. J'apprenais à perfectionner mon don pour la couture grâce à son amie d'enfance qui, elle, était très douée. Cela me rappelais les années passées auprès de ma mère à coudre... J'apprenais vite et j'en fis très vite mon métier. J'aurais pu m'en aller, aussi. Mais je n'en avais depuis des mois plus l'envie. Je m'étais tant attachée à ce garçon et il semblait en être autant pour lui. Ce fut le cas. On ne tarda pas à tomber réellement amoureux l'un de l'autre. Cela aurait pu être merveilleux si ma vie avait été si simple auparavant, s'en était malgré tout les deux années les plus belles de ma vie. De la sienne je ne sais pas, je n'ai jamais pu lui offrir tout ce dont il rêvais, les séquelles laissées par mon beau-père me traumatisaient et je ne parvenais pas encore à les surmonter. Jamais pourtant il ne leva la main sur moi comme le faisait mon paternel et il ne me força jamais à lui donner le bonheur le plus total, celui que je pensais n'être que souffrance et malaise. Pour la première fois de ma vie quelqu'un me respectait. Il ne savait pourtant que peu de choses sur mon passé mais il comprenait que des horreurs m'avaient été faites. Parfais il lui prenait de me prendre dans ses bras et me bercer en me murmurant que rien ne m'arriverait tant qu'il serait avec moi, que jamais il ne laisserait qui que ce soit me faire du mal.

Pourra-t-on un jour m'expliquer pourquoi cet homme merveilleux, l'homme de ma vie... Pourra-t-on me dire pourquoi a-t-il disparu du jour au lendemain ? Pourquoi ma maison si chaleureuse s'est-elle retrouvée vide de sa tendre présence ? S'était-il enfuis ? M'avait-il abandonnée ?! Ou lui était-il arrivé malheur ?... Peut-être avait-il cherché à me protéger de quelque chose ?... Jamais je ne pus savoir ce qu'il s'était passé. Mais un grand désarroi, une angoisse sans nom m'avait prit. La panique la plus totale m'avait envahit et c'est une crise épouvantable qui m'avait secouée pendant des heures entières. On m'avait tout prit. Je n'avais plus de père, aussi barbare et inhumain fut-il, ma mère s'était détournée de moi et l'homme qu'elle aimait avait abusé de moi. Et maintenant on m'arrachait l'être qui transformait ma vie, qui la colorait petit à petit, peut être même aurait-il fini par me guérir de mes peur... On m'enlevait la personne qui jamais au monde n'aurait même imaginé me faire souffrir. Ne méritais-je pas cela ? Ne méritais-je pas un peu d'amour ? De tendresse ?

Une haine profonde du monde vint m'emporter, avec elle la manifestation de mon pouvoir que j'avais jusqu'alors enfouis en moi. Lorsque je sortis de la bâtisse je n'avais qu'une rage immense en moi, malgré les larmes qui coulaient encore le long de mes joues. Je voulais tant me venger de celui qui avait osé m'enlever ma raison de vivre ! Certaine qu'il ne pouvait s'agir que de cela, jamais il ne m'aurait abandonné, il m'aimait autant que moi et il m'avait juré de me protéger... Je ne remarquais même pas ma peau crépiter sous le pouvoir de la foudre. Il m'aurait pourtant suffit d'effleurer quelqu'un pour lui envoyer une décharge puissante. J'aurais, je crois, fais du mal à des gens si cette femme n'avait pas ressentit la magie qui émanait de mon être. Elle s'est avancée vers moi, m'a attrapé les épaules et posé ses lèvres sur mon front. Je ne sais pas bien ce qu'il s'était passé, mais après avoir ressenti le courant magique qui me parcourait je l'ai senti s'enfuir puis disparaitre. Ma colère, la douleur et ma peine s'estompa entièrement. Lorsque la femme me relâcha et tituba, je compris qu'elle m'avais libérée de la souffrance infinie qui faisait tant de ravage en mon cœur. Je ne pus que la soutenir. Quelques mots s'étaient échappés de ses lèvres : Elle comprenait que son geste avait éveillé des questions dans mon esprit perturbé et elle acceptait de m'expliquer si en retour j'acceptais de le faire dans un lieu plus au calme.

C'est ainsi que je me retrouvais chez cette inconnue. Inconnue qui semblait m'avoir sauvée, sauvée de mon tourment tout du moins. Elle me raconta alors qu'elle était Mage, son don résidant uniquement dans le touché, certes puissant mais à double tranchant. Elle me dis aussi que je possédais des pouvoirs et qu'à l'état brut ils étaient dangereux, pour les autres mais aussi pour moi. Ce qui me terrifia fut d'apprendre que son don n'opérait que peu de temps et que je ne tarderais pas à retrouver ma souffrance. J'acceptais alors une chose que je n'aurais jamais imaginer faire auparavant mais que dans cette condition de détresse je ne pouvais refuser. Je devins son apprentie et par là même elle expliqua qu'elle pourrait ainsi à long terme calmer ma souffrance et réussir à la canaliser. Au fond je ne savais pas ce qu'elle avait à y gagner. Pendant plus de cinq ans j'appris donc à contrôler ma magie jusqu'à devenir Mage, une Mage novice encore certes mais à présent je suis capable de gérer ce flux d'énergie. De plus cette femme nommée Aglaé devint pour moi une amie très chère.

C'est ici que s'arrête mon histoire, ne reste plus qu'à découvrir à présent mon futur. Peut être sera-il meilleur ? J'espère...



Famille : Qu'en dire ? J'ai un père décédé lorsque j'étais toute jeune, qui n'avait rien de chaleureux ni aimant. Je ne l'ai pour autant dire presque jamais vu de son vivant et je craignais ses visites. Son nom ? Je ne m'en souviens plus mais ça ne m’intéresse même pas.

Ma mère, Alénéa, était la seule personne que j'aimais et qui m'adressait de l'affection mais sa hantise de vivre sans les hommes l'a rendue aveugle à mon bien-être. Aujourd'hui je n'ai plus d'amour envers cette femme qui connaissait un lourd secret et n'a jamais daigné y mettre fin.

J'ai, je crois, un demi-frère mais ma très chère génitrice n'a jamais dévoilé plus que son nom : Jeckym. Je ne sais ni où il vit, ni a quoi il ressemble. Peut être le trouverais-je un jour ?






Autres : Pourquoi ne pas parler de mes peurs ? Elles sont bien nombreuses et il me semble évident que je ne suis rien de plus qu'une femme trop faible à cause de cela. J'ai à ce jour un hantise totale de me retrouver seule et encore moins dans l'obscurité, je ne suis à mon aise que dans la foule la plus dense. Me retrouver seule fait monter en moi des angoisses qui me font perdre les moyens. Je ne supporte aucunement la douleur, ayant tellement subit l'idée même de souffrir m'est insupportable. Ce sont là mes plus grandes phobies.
Quand à avoir des faiblesses, celles-ci se résumes à la qualité de femme.
J'ai aussi développer quelques tics, comme celui de replacer toujours mon chapeau même s'il n'a pas bougé.


Pour finir :

Votre petit nom, pseudo : Appellez moi Lylys c'est un de mes favori ^-^

Votre âge : 19 printemps

Comment avez vous découvert le forum : Baah j'y étais avant qu'il ferme x)

Il est beau le règlement non ? Michi


Dernière édition par Aelis Vendel le Mar 16 Oct - 19:47, édité 7 fois
Revenir en haut Aller en bas
Sanael

Je suis
Sanael
Fondateur
Fondateur
Messages : 117
Date d'inscription : 16/09/2012
Age : 31

Capacités
Vie:
Aelis Vendel [en cours] Left_bar_bleue10000/10000Aelis Vendel [en cours] Empty_bar_bleue  (10000/10000)
Souffle magique:
Aelis Vendel [en cours] Left_bar_bleue20000/20000Aelis Vendel [en cours] Empty_bar_bleue  (20000/20000)
Camps: Résistance

Aelis Vendel [en cours] Empty
MessageSujet: Re: Aelis Vendel [en cours]   Aelis Vendel [en cours] EmptyJeu 11 Oct - 21:59

Salut ^^
Je te laisse modifié ta fiche pour qu'elle corresponde à la nouvelle fiche de présentation Smile
Revenir en haut Aller en bas
Aelis Vendel

Je suis
Aelis Vendel

Messages : 3
Date d'inscription : 10/10/2012
Age : 31

Capacités
Vie:
Aelis Vendel [en cours] Left_bar_bleue10000/10000Aelis Vendel [en cours] Empty_bar_bleue  (10000/10000)
Souffle magique:
Aelis Vendel [en cours] Left_bar_bleue20000/20000Aelis Vendel [en cours] Empty_bar_bleue  (20000/20000)
Camps:

Aelis Vendel [en cours] Empty
MessageSujet: Re: Aelis Vendel [en cours]   Aelis Vendel [en cours] EmptyVen 12 Oct - 10:48

Coucou, je poste pour dire que : Les images sont interdites pour les nouveaux faut changer ça et je peux voir aucune aussi c'est "seul les administrateurs peuvent voir les images". Quand c'est changé je termine ma fiche =)
Revenir en haut Aller en bas
Sanael

Je suis
Sanael
Fondateur
Fondateur
Messages : 117
Date d'inscription : 16/09/2012
Age : 31

Capacités
Vie:
Aelis Vendel [en cours] Left_bar_bleue10000/10000Aelis Vendel [en cours] Empty_bar_bleue  (10000/10000)
Souffle magique:
Aelis Vendel [en cours] Left_bar_bleue20000/20000Aelis Vendel [en cours] Empty_bar_bleue  (20000/20000)
Camps: Résistance

Aelis Vendel [en cours] Empty
MessageSujet: Re: Aelis Vendel [en cours]   Aelis Vendel [en cours] EmptyMar 16 Oct - 20:36

Sympa l'histoire de ton personnage, dans le sens où elle est vraiment intéressante =)

J'ai rien à dire d'autres, à part que pour tout ce qui est des éléments, je te conseille de tous les mettre ^^, ou si tu as envie de les ajouter par la suite, il n'y a pas de soucis ça peut se faire =)

Donc voilà je valide ta fiche et te souhaites bon rp =)
Si tu as besoin de quoi que ce soit n'hésites pas à m'envoyer un mp, j'y répondrais le plus vite possible ^^
Revenir en haut Aller en bas
Aelis Vendel

Je suis
Aelis Vendel

Messages : 3
Date d'inscription : 10/10/2012
Age : 31

Capacités
Vie:
Aelis Vendel [en cours] Left_bar_bleue10000/10000Aelis Vendel [en cours] Empty_bar_bleue  (10000/10000)
Souffle magique:
Aelis Vendel [en cours] Left_bar_bleue20000/20000Aelis Vendel [en cours] Empty_bar_bleue  (20000/20000)
Camps:

Aelis Vendel [en cours] Empty
MessageSujet: Re: Aelis Vendel [en cours]   Aelis Vendel [en cours] EmptyMar 16 Oct - 20:51

Pour l'élément j'ajouterai plus tard car je la considère encore en formation, elle a du apprendre à canaliser sa magie brute et s'en servir mais pas de sorts pour l'instant =)
Revenir en haut Aller en bas
Sanael

Je suis
Sanael
Fondateur
Fondateur
Messages : 117
Date d'inscription : 16/09/2012
Age : 31

Capacités
Vie:
Aelis Vendel [en cours] Left_bar_bleue10000/10000Aelis Vendel [en cours] Empty_bar_bleue  (10000/10000)
Souffle magique:
Aelis Vendel [en cours] Left_bar_bleue20000/20000Aelis Vendel [en cours] Empty_bar_bleue  (20000/20000)
Camps: Résistance

Aelis Vendel [en cours] Empty
MessageSujet: Re: Aelis Vendel [en cours]   Aelis Vendel [en cours] EmptyMar 16 Oct - 20:56

Pas de soucis ^^
De ce côté là, je laisse plutôt de la liberté pour le gérer =)
Revenir en haut Aller en bas


Je suis
Contenu sponsorisé


Aelis Vendel [en cours] Empty
MessageSujet: Re: Aelis Vendel [en cours]   Aelis Vendel [en cours] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Aelis Vendel [en cours]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Damon N'Asheznon [en cours]
» Un coeur de glace et d'acier...[En cours]
» Présentation Grenaak Aruseth + Projet lycan [En cours pour le projet]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Swormaster RPG - L'aventure fantastique... [interdit aux moins de 16 ans] :: Les Swordiens :: Fiche d'identité :: Fiche Validé-