Il fut un temps où tous les êtres étaient égaux et vivaient en harmonie. Mais cela ne durât point. Un homme, un fou, soulevât une armée et asservit le monde durant très longtemps.
Cet homme du nom d'Elzios se prenait pour un dieu et c'était probablement vrai, nul n'avait jamais atteint une telle maîtrise que cet être.
Son règne de mort et de ténèbres dura des années. Elzios avait eu sept disciples, aux âmes aussi sombres et corrompues que lui.
Mais un jour, six puissants guerriers mages se dressèrent face à lui.
Durant le combat qui opposa Elzios et ses six disciples, les gardiens de l'équilibre s'éveillèrent.
Les cinq gardiens accordèrent leurs pouvoirs divins aux ennemis du tout puissant Elzios.
Et pourtant, le combat dura et alors que l'issu était proche, l'un des disciples du Démoniaque, le trahit.
Cette surprise perturba les disciples des ténèbres, tandis que les guerriers de la lumière, eux, furent rassurés. Ils redoublèrent alors d'effort dans le combat, éliminant un à un les alliés d'Elzios, mais dans leur bonté, leur laissèrent la vie.
Mais quand vint l'heure d'éliminer le maître des Tsaphars, ce furent les gardiens de l'équilibre eux-même qui vinrent se battre et puisant dans l'énergie du plus puissant des guerriers de la lumière, ils ouvrirent à nouveau la porte séparant le monde des Tsaphars, qui engloutit les troupes d'Elzios et scellèrent la porte en se servant des 6 clefs du temps.
Les 6 clefs de pouvoir se dispersèrent ensuite dans le monde pour que personnes ne puissent les retrouver. Chacune maintenant, étaient protégées dans des tours. Ces tours sont appelées maintenant les tours mirages, apparaissant et disparaissant de la surface du monde à leurs envies. Et oui, car chacune d'entre elles possèdent une intelligence propre, lui permettant ainsi de protéger au mieux ces clefs qui ne doivent pas atterrir entre de mauvaises mains.
Les décennies passèrent et le groupe de héros ayant obtenu des pouvoirs de dieu disparurent. Mais ils furent tous élevés au rang d'être divin grâce à leurs exploits et également pour la puissance qui était la leur.