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 La naissance d'une Luciole

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Luciole

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Luciole

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MessageSujet: La naissance d'une Luciole   La naissance d'une Luciole EmptyMer 10 Oct - 15:54









Keikoku alias la Luciole

Nom : Plus qu'un nom c'était pour moi une marque de fabrique, ce qui me reliait a mes racines et a ma vie d’antan lorsque j'étais dans les quartiers mal fréquentés de la ville où j'ai vécu. Même si je ne préfère pas l'employer et encore moins qu'on l’appel ainsi je ne peux renier ce qui fait de moi un homme. Mon nom a moi est Keikoku.

Prénom : Il représente beaucoup plus que mon nom a vrai dire. Même si pour moi il s'agit plus d'un surnom que d'un véritable prénom j'aime a croire qu'il est plus puissant que n'importe quoi d'autre. Je le porte fièrement et vous serez aimable de ne retenir que ce surnom qui n'est autre que Luciole.

Âge : Peut-on vraiment dire que le temps a le moindre effet sur la personne que je suis? N'ayant que du sang de vampire qui coule dans mes veines la maitresse du temps n'a pas d'emprise sur moi. En revanche mon corps donnerait la sensation que je ne suis qu'un enfant de 22ans a peine.

Race :A n'en pas douter je suis un vampire même si a présent je n'ai plus vraiment leurs façon de penser ainsi que d'être. Je ne vis exclusivement que pour moi mais je n'en reste pas moins l'un des leurs.

Caste: Je suis devenu samouraï par défaut a vrai dire mais il n'est pas dit qu'un jour je veuille changer cela. Même si le plaisir de trancher du bout de ma lame est quelque chose de divin selon moi.

Éléments : Il m'est donné de contrôler la magie de la glace avec une aisance spectaculaire, créant ainsi des ballets macabre avec ma lame en gardant une pointe de beauté. J'en suis également venu a manier les arcanes du feu, destructeur mais si puissant. Et même si mon statut de guerrier me permets d'en maitriser d'autre je ne peux, pour le moment que manipuler ces deux arts: qui sont devenus pour moi une seconde nature quand il faut les utiliser au combat.

Description Physique et Mentale :


Physionomie : Je n’ai jamais été a l’aise avec les gens qui vous épient du regard : ils nous jugent sur notre façon d’être comme notre façon de nous habiller. Un regard pervers et défait de toute humanité alors devoir me décrire seul me rappel un peu ce regard qu’on a sur les autres. De plus vous demandez a un aveugle de ce décrire c’est un peu impolis je trouve ! Mais je vais passer au dessus de votre outrecuidance.

Vous ne saviez pas que j’étais aveugle ? Vous pensiez que j’avais les yeux fermés par pur plaisir sans doute. Allons bon, je vais faire l’impasse sur votre naïveté ainsi que sur votre manque de jugeote. Mais il y a longtemps de ça je pouvais voir la couleur du ciel comme vous, malheureusement il a fallut faire un choix pour avancer et j’y ai laissé le sens de la vue. Dans le passé mes yeux étaient de couleurs or, héritage génétique de ma défunte mère.

Mes cheveux sont aussi blonds que l’était mon regard voyez-vous. Ma chevelure en bataille est une chose qui m’amuse au plus haut point : je peux ressentir le vent me chatouiller les oreilles en faisant remuer les mèches qui les recouvrent. C’est même grâce a ce phénomène que je peux discerner encore plus distinctement les mouvements des autres. Il ne faut pas croire qu’un aveugle est incapable de lire dans les mouvements des autres : s’en est même beaucoup plus simple voyez-vous. Pour éviter d’avoir trop de cheveux sur le visage je porte un bandeau en lin rouge sur le front, stoppant l’avancé de mes cheveux pour mieux ressentir mon environnement.

Un nez très fin, tout comme ma bouche. Cela pourrait terminer mon visage mais ce serait trop barbare comme visage. Sans expression on pourrait dire même. En réalité je porte sur le visage des marques tribales qui s’étendent a tout mon corps même : on appel cela le tatouage du feu. Une façon d’augmenter passivement ces capacités physiques quand celui-ci est activé. Vous pourrez l’admirer briller et devenir couleur sang quand je m’en serre ne vous en faite pas.

Venons-en maintenant au reste de mon corps, élancé mais manquant de grandeur car je mesure un petit mètre soixante dix avec mes geta, alors je n’en dirais pas plus sur ma véritable taille : c’est un sujet très sensible ! Malgré cela je n’en reste pas moins très taillés, mon entrainement passé a maitriser le sabre me permis de me construire un corps dont je suis fier maintenant. Même si je manque de « force » nous pourrions dire, je suis aussi vif que l’éclair et j’ai fais de mon handicap une véritable force en combat mais vous l’apprendrez surement plus tard mes amis pervers.

J’arbore un kimono blanc dont les coutures sont rouges, je le porte depuis des années maintenant. Sur les manches est visible le symbole de ma famille : l’équilibre du monde, le ying et le yang, mais de couleur rouge et blanche pour rester en harmonie avec ma tenue. J’ai beau ne rien voir je suis très pointilleux sur mon apparence. Je porte également un pantalon large et de couleur rouge, et oui encore du rouge que cela vous plaise ou non !

Dans mon dos je porte mes sabres jumeaux : hinomoeru, le sabre du feu ardent et eiennokori, le sabre de la glace éternel. Étant le seul vestige de mon défunt père j’en prends le plus grand soin. Passant beaucoup de temps a les aiguiser, m’entrainant a les manier pour créer une danse majestueuse avec.

Alors oui j’ai beau être un aveugle je n’en suis pas moins un monstre capable de vous affronter sur un pied d’égalité même si mes quatre sens restant sont a leurs paroxysmes…


Psychologie :Un enfant mort né, un secret lourdement gardé pour une famille a qui tout souriait doit laisser des traces vous ne pensez pas ? Car oui je suis le fruit de l’union d’un vampire et d’un humain, je ne suis pas entièrement comme ma mère dès lors. Certains parmi les vampires me considéreront comme un « sang clairs » mais peut m’importe a présent : je sais que j’appartiens a cette race de buveur de sang et rien d’autre n’a vraiment d’importance. Mais ma mère dû ce sacrifier, me donner la quasi-totalité de son essence vitale pour ma propre survie lors de l’incendie de mon village. Alors je lui serais a jamais redevable : a cette mère qui a tout fait pour me donner une vie presque normal et vivre avec son mari, mon père…

Et pourtant je n’en veux a personne de ce qui c’est passé, au contraire j’ai pu grandir a une vitesse plus grande que n’importe quel autre enfant. Une maturité acquise peut être de force avec les évènements qui auront suivis cet incendie. J’ai donc appris a faire la part des choses dans le long chemin de la vie.

Étanchant ma soif de sang en m’abreuvant de celui des créatures qui peuplent le monde je ne bois que très rarement du sang d’individu. A croire que si je buvais un sang même humain je deviendrais une machine de guerre : privé depuis longtemps de ce délice j’en perdrais surement la tête au point de transcender ma propre force. Mais je m’y interdis, si ma mère a voulut vivre avec un humain et me donner naissance au péril de sa vie je ne dois pas jouer avec la vie de ma part d’humanité.

Dans mes jeunes années j’ai appris l’art du combat, ôter la vie avec un coup de sabre bien placé. Trancher de façon précise les organes vitaux de mes vis-à-vis. Puis les champs de batailles ce sont succédés : m’entrainant a maitriser mon art de plus en plus chirurgicalement. Alors oui certains vous diront que j’ai un style particulier quand je me lance dans un assaut : une danse macabre, virevoltant avec mes sabres jumeaux entre les troupes pour arracher des bras, provoquer des blessures de guerres et autres. Mais il faut savoir faire d’une bataille une peinture aussi belle que dangereuse.

Mais même si j’aime le gout du sang, au sens propre comme au figuré, j’aspire a voir un monde dont la guerre et la mort ne serait pas une solution. Depuis que je vis seul j’évite tout combat inutile qui pourrait gâcher une vie, j’adopte donc un côté plus philosophique : tentant par tout les moyens de raisonner un tiers qui tenterait de ce frotter a moi. Il faut voir la vie comme un « tout », et je me refuserais a ôter cette dernière a un pauvre inconscient.

Mais peut être que cette philosophie a vu le jour quand j’ai perdu mon propre sens de la vue. En conscience de cause j’ai préféré devenir un aveugle pour devenir plus fort et plus puissant pour des raisons qui me sont propres. Cet abandon est néanmoins comme un don : mes sens étant déjà accrues par ma nature de vampire ils s’en trouvent a présent a leurs paroxysmes. Rien n’échappe a mon ouïe comme les battements de cœur d’une foule en délire, ni l’odeur de transpiration d’un homme perdant son sang froid, ni même le tremblement qu’il a causé sur le sol lors de son assaut sur ma personne. Dans un sens je suis devenu un vrai radar ambulant. Mais ne vous en faites pas : j’aimerais que l’on devienne amis alors serons nous la main non ?



Biographie du personnage :


Quelques années avant que les Tsaphars imposent leurs forces sur notre monde je vivais une vie paisible dans une famille calme et des plus stables. Tout me destinais à avoir un avenir tracés dans le marbre pour perpétrer l’union de ce que l’on appel la famille. Ma venue au monde ce fut dans l’ancien pays des elfes appelés Kinshi, mais ce nom est passé dans l’oubli. Ce n’est plus qu’une trace sur des livres d’histoires hérétiques alors a quoi bon continuer de raconter mon histoire. C’est un devoir que je me dois de faire ? Alors soit nous allons continuer.

Comme je l’ai dis mon avenir était tracé bien avant que je naisse et que je n’ouvre les yeux pour la première fois de ma vie. Une mère et un père tout ce qu’il y a de plus aimant et proche l’un de l’autre, dans un monde où la magie règne j’avais hérité d’un couple d’humain des plus banales. Sauf que le marbre dans lequel ma vie était gravée c’est transformé en une pierre d’argile malléable et des plus tangibles. Personne n’aurait pu imaginer ce qui allait ce passé.

Je ne vais pas vous faire un récit sur mes jeunes années, je ne ferais que vous endormir en vous contant les jours où je passais mon temps a regarder mon père travailler le métal dans notre forge. Les commandes ce faisant de plus en plus nombreuse on pouvait sentir que quelque chose était entrain de ce dérouler sans que nous puissions savoir quoi. Les temps changent et vînt cette nuit terrible qui a changé ma vie.

Le village prospère et calme dans lequel je vivais fut saccagé par des mercenaires. Nous ne pouvions savoir que cette attaque représentait plus qu’un saccage de quelque terre. Mais la pensée simple reposant sur la paix de notre monde ne pouvait le comprendre. Et moi je suis ce petit enfant, une peluche a la main et les genoux sur le sol entrain de pleurer avec son père et sa mère derrière lui. Oui j’étais là dors du tout premier assaut des forces des ténèbres et je m’en suis sortis parce que le destin m’a joué un tour des plus abjectes.

L’attaque ce fit de nuit, rapide et violente sans que personne ne puise ce douter de quoi que ce soit. Mes parents et moi étions entrain de nous amuser, a vrai dire j’avais fais un énième cauchemar alors pour me rassurer ils m’avaient offert une place près d’eux afin que je me repose mais l’ambiance en était venu à être chaleureuse et joviale. Puis a la fenêtre une ondée rougeâtre comme les bribes d’un feu ardent. Mais il était trop tard pour faire quoi que ce soit : un incendie gigantesque avait encerclé notre village. On entendait les gens crier et courir a en perdre haleine puis un rire. Ce rire je ne pourrais jamais l’oublier : emplis de haine et d’envie sanglante ce faisait entendre devant les portes de notre village.

Mon père m’attrapa le bras avec une force insoupçonné et me fis décoller dans les airs. Je ne comprenais pas ce qui ce passait, mon esprit était trop jeune pour analyser la gravité de la situation. A la place mes yeux étaient fixés sur ma mère entrain de cacher ces larmes, me répétant que tout allait bien ce passé. La suite fut presque un ralentit sur image : mon père courant dans les escaliers avec moi dans les bras, ma tête ne sachant où ce placer pour comprendre ce qui m’arrivait. Puis une explosion. Le mur de notre maison s’effrita avant de partir en une multitude de copeau de bois qui se plantait dans notre peau. Le corps de mon père décolla dans les airs, les bras autour de moi comme pour me protéger.

Puis un coup d’œil sur ma mère propulsé en arrière elle ressemblait a un animal. Non ce ne pouvait être vrai : elle prit appuis sur une marche branlante avec l’explosion et ce propulsa vers nous. Ces yeux étaient devenus d’un rouge étincelant et sa peau des plus blanches. Des crocs avaient pris place dans sa bouche et elle sauta sur mon père : formant un cocon de leurs deux corps ils ne cherchaient qu’a me protéger. La suite fut des plus flous car ma tête percuta le sol mais a mon réveil j’étais là : les genoux sur le sol, des canines longues et du sang suintant de mon coup. Mon père et ma mère ce tenant par la main même dans la mort. Cette nuit avait marqué un tournant dans ma vie. Un tournant dans l’histoire de notre monde. L’humain que je pensais être venait de ce transformé en un dévoreur de sang.

Des larmes jonchaient mes joues enfantines. Plus rien n’était pareille a présent : je n’avais nulle part où aller alors je préférais rester là, poser devant mes parents morts que de bouger le moindre petit doigt jusqu’à ce que ce qu’un bruit retentisse dans toute la ville. La peur me prit au ventre, j’étais terrorisé et tremblait de tout mon être. Je passais une main sur le visage de ma mère pour lui fermer les yeux puis refis le même geste sur le visage de mon père. C’était le dernier cadeau que je pouvais faire dans mon état. Encore ce bruit, sourd comme le bruit d’une poutre tombant sur le sol.

Je pris mes jambes a mon cou en direction de ce qui était mon ancienne maison. Elle était en ruine, il ne restait plus qu’un mur debout, comme le vestige d’un assaut destructeur pour des raisons inconnues. Marchant dans les décombres encore fumant je risquais de me blesser, voir de risquer la mort elle-même mais je n’avais absolument pas les idées claires puis aller apprendre ce qu’est la « raison » a un gamin. Pour l’enfant que j’étais le bruit qui résonnait a nouveau était celui du mal qui a ravagé sa vie.





Autres :

Pour finir :

Votre petit nom, pseudo : Rikou, oui oui c'est bien mon prénom /TROLLFACE/

Votre âge : Bientôt la vingtaine.

Comment avez vous découvert le forum : Il paraitrait que j'ai eu le bonheur de connaitre une autre version de sword alors a présent qu'il rouvre je me permets de me glisser dans ce nouveau périple

Commentaire: En revanche je ferais remarquer qu'il manque certaines choses: comme la race des hybrides si l'on peut dire ainsi que celle des "animaux". Nous n'avons pas le descriptif concret des Lycans, Zéphyriens et Naga alors je me demande si ce ne serait pas un oublis? De plus il y a des petites fautes par-ci par là qui font mal aux yeux par moment. Mais rien de bien méchant.

Il est beau le règlement non ? (donnez le code qui s'y trouve)


Dernière édition par Luciole le Mer 7 Nov - 9:29, édité 6 fois
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Sanael

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MessageSujet: Re: La naissance d'une Luciole   La naissance d'une Luciole EmptyMer 10 Oct - 17:26

Salut ^^

J'ai deviné qui t'es, on va dire que le duo est revenu quoi x)
Je te laisse terminer, ta fiche ^^

Pour ce qui est des hybrides, ils existent toujours, le truc c'est que j'ai intégré loup garou, zéphirien et naga dans les hybrides. Tout ça pour donner la possibilité de plusieurs hybrides différents, homme oiseau et autre. Permet ainsi de proposer plus d'hybride possible et pas seulement quelques unes.
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